Salut
Voila quelques réalisation présenté lors du salon
La star incontestée de la préparation au Japon reste la Nissan GT-R R35. Pour la 4ème année de présence de la voiture sur le marché, le tuning de la GT-R a franchi un palier. Ce qui n’empêche pas d’apprécier les pionniers: la GT-R Amuse, une des premières à avoir été développée, est en train d’acquérir un statut classique. Toujours aussi impressionnante, année après année.
Si jusqu’à présent la philosophie majoritaire était la performance pure et dure, la GT-R peut aussi jouer les showcars, telle la voiture développée par Tommy Kaira sur la base de son kit de l’année dernière. Portes ciseaux, baie moteur chromée, intérieur retapissé, ce traitement digne d’une Lambo de rappeur est carrément différent du reste des GT-R du TAS 2011.
On passe à Mazda, qui contrairement aux autres constructeurs n’est pas revenu officiellement au Tokyo Auto Salon cette année après avoir déserté les halls de Makuhari l’année dernière. Pas grave, puisque Ama-san, à la tête de RE-Amemiya, continue chaque année de se surpasser. Cette fois avec deux autos impressionnantes, la Hurricane-20B, une RX-7 FD3 pour le time attack qui utilise la carrosserie de la voiture de Super GT avec un moteur développant 600 chevaux. L’objectif est de prendre le record sur la plupart des circuits japonais.
une Silvia toute en carbone,
"ITASHA" tendance MANGA
Impossible d’ignorer la tendance lourde des itasha qui étaient largement représentées, avec certaines réalisations vraiment impressionnantes comme cette Nissan Fuga, pas forcément la base la plus évidente pour ce genre de traitement.
Une RX-8 signée RE Amemiya
Même chose pour cette F430 Spider
Une Mitsubishi Eclipse avec un avant de 350Z, un arrière d’Infiniti G35 et un moteur… Subaru.
Long capot, Calandre Bentley, optiques Audi, carrosserie wide body, mais qu’est-ce que ça peut bien être ? Comme toujours, c’est le pavillon qui vend la mèche. Vous avez sous les yeux une Toyota Supra, qui compense les emplâtres par une préparation moteur de 680 chevaux, le minimum décent de nos jours pour une Supra qui se respecte.
Voila quelques réalisation présenté lors du salon
La star incontestée de la préparation au Japon reste la Nissan GT-R R35. Pour la 4ème année de présence de la voiture sur le marché, le tuning de la GT-R a franchi un palier. Ce qui n’empêche pas d’apprécier les pionniers: la GT-R Amuse, une des premières à avoir été développée, est en train d’acquérir un statut classique. Toujours aussi impressionnante, année après année.
Si jusqu’à présent la philosophie majoritaire était la performance pure et dure, la GT-R peut aussi jouer les showcars, telle la voiture développée par Tommy Kaira sur la base de son kit de l’année dernière. Portes ciseaux, baie moteur chromée, intérieur retapissé, ce traitement digne d’une Lambo de rappeur est carrément différent du reste des GT-R du TAS 2011.
On passe à Mazda, qui contrairement aux autres constructeurs n’est pas revenu officiellement au Tokyo Auto Salon cette année après avoir déserté les halls de Makuhari l’année dernière. Pas grave, puisque Ama-san, à la tête de RE-Amemiya, continue chaque année de se surpasser. Cette fois avec deux autos impressionnantes, la Hurricane-20B, une RX-7 FD3 pour le time attack qui utilise la carrosserie de la voiture de Super GT avec un moteur développant 600 chevaux. L’objectif est de prendre le record sur la plupart des circuits japonais.
une Silvia toute en carbone,
"ITASHA" tendance MANGA
Impossible d’ignorer la tendance lourde des itasha qui étaient largement représentées, avec certaines réalisations vraiment impressionnantes comme cette Nissan Fuga, pas forcément la base la plus évidente pour ce genre de traitement.
Une RX-8 signée RE Amemiya
Même chose pour cette F430 Spider
Une Mitsubishi Eclipse avec un avant de 350Z, un arrière d’Infiniti G35 et un moteur… Subaru.
Long capot, Calandre Bentley, optiques Audi, carrosserie wide body, mais qu’est-ce que ça peut bien être ? Comme toujours, c’est le pavillon qui vend la mèche. Vous avez sous les yeux une Toyota Supra, qui compense les emplâtres par une préparation moteur de 680 chevaux, le minimum décent de nos jours pour une Supra qui se respecte.